Le circuit des "édicules"
Muno, Watrinsart, Lambermont, Blancs-Sarts
 
 Croix Buche   N-D de Banneux   Croix Guiot  Calvaire   N-D miraculeuse
Le cimetière La croix Boudet  Notre-Dame de la Fontaine (Watrinsart)  Le Christ de Watrinsart
La Vierge de Beauraing   Saint Barthélemy (cour du Prieuré) La croix Braconnier
 Le calvaire des Blancs-Sarts Notre-Dame au coeur d'or (Lambermont)
Le cimetière de Lambermont Notre-Dame du Foyer  La statuette de St Jean Baptiste  Le Christ du Paquis
La croix du bras de la "Chérire"  Le Christ des Hauts de Lambermont
 
 
 
 
 
 
 
 
LA CROIX BUCHE (Rue de Bavière)
Sur un socle de pierre bleue, la croix en fonte avec deux faces fut édifiée par la famille Jean-Baptiste Buche-Conrotte alors propriétaire. Quatre tilleuls entouraient la croix et un chemin permettait de tourner autour; hélas le ruisseau a détérioré le nord et le chemin de ronde a disparu.
A la Fête-Dieu, cette croix était la finale de la procession du Saint Sacrement. Le conseil de fabrique, les autorités communales, la gendarmerie, les enfants des écoles portant des oriflammes, les paroissiens et les bannières des différentes sociétés descendaient alors le village orné de "mais" (branchages plantés le long des deux accotements des rues).
Hélas ! depuis 1962, la procession n'est plus. Ce calvaire fut l'objet d'un contentieux entre Mr Biazot René (1928-1991) et les héritiers Buche car un des deux tilleuls restants était menaçant pour la maison Biazot et la parcelle était très à l'abandon.

En 1992, le petit patrimoine s'intéresse à ce lieu et sur proposition communale, accepte la restauration.

Monsieur Perard Emile-Rolain (1916-1995), héritier et descendant, fit élaguer les tilleuls, repeindre la croix et planta des cyprès. En décembre 92, le S.I. profita de la journée de l'arbre et replanta deux tilleuls.

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NOTRE-DAME DE BANNEUX  (en bordure de la nouvelle route : Gare-Scierie Duval)
 

Madame Ida Gonty (1903-1983) épouse Jean Incourt (1900-1983) ayant à subir une grave opération à Louvain promit qu'à son retour, elle élèverait un ex-voto en reconnaissance à la vierge.

Son fils étant instituteur à Verviers, ramena une statuette de Notre-Dame de Banneux peu connue dans  la paroisse. En 1960, les 3 frères Incourt, René, André et Michel érigèrent un socle fait de 3 roches récoltées dans le ruisseau près de la fontaine et dans le ruisseau de la rue de Bavière. La niche est en béton et la statue en faïence.
Le 21 juillet 1960, l'abbé Georges Thomas, curé de Muno de 1946 à 1962 bénit sur place la statuette en présence de quelques paroissiennes qui avaient apporté des fleurs vivaces pour orner le jardinet entouré d'une haie de troènes.

Hélas! la statue fut cassée en 1985 et restaurée tant bien que mal. Le vandalisme se répéta en 1988. Depuis elle est bétonnée intérieur et extérieur.
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CHRIST : PHILIPPE GUIOT
 

 

On parle de la croix "Flip" chez les anciens Munaçois. Située à gauche, le long de la route qui va de l'ancienne gare à l'ancienne scierie Duval, cette croix fut édifiée en 1869 par Philippe Guiot, garde forestier à Muno; ce célibataire avait de nombreux neveux dont son filleul Philippe Guiot (1873-1929), père de Simone Guiot, épouse Ulysse Duval.
Quand on a fait la route en 1940, car les "Vis Vouÿes" n'étaient qu'un chemin de terre, c'est Ulysse Duval qui déplaça la croix et éleva le calvaire à l'endroit actuel.
La tablette de schiste et le petit Christ en fonte sont d'origine, car la croix a été remplacée deux fois. Le bois actuel fut donné par Marc Vincent de Muno; il fut scié et débité à la scierie Duval proche. Ensuite, il fut menuisé par Simon Biazot (1915-1991) aidé du propriétaire.

Autrefois, avant le chemin de fer, la route de Grand Hez montait au pied du calvaire qui sans doute marquait le carrefour Vouÿes du Monty et Vouÿes de Grand Hez. En 1994, la haie de cyprès fut malencontreusement brûlée. L'entretien est toujours assuré par la famille Duval-Guiot.

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LE CALVAIRE (rue de Cugnon)
 

Il fut élevé en 1924, un 15 août, en reconnaissance après la guerre 14-18. Le maïeur était alors Henry Duval (1881-1963) et le curé de Muno Eugène Claude (1899-1946).
L'endroit fut choisi après la création du chemin de fer car il n'y avait pas de talus à ce carrefour de la route de Cugnon. Les pierres tombales de l'ancien cimetière entourant l'église servirent à édifier l'autel et les socles des statues de Marie et de St Jean. La croix fut travaillée par Jules Cornélusse (1884-1952).
Au 15 août de chaque année, les communiantes, les renouvelantes, l'harmonie, les autorités civiles et religieuses, paroissiens avec bannières et statues partaient en procession après les saluts et ce jusqu'en 1962.

Depuis le 15 août 1980, l'harmonie du village y célèbre chaque année une messe en musique en plein air. Depuis 1989, la procession avec bannières et statue de Notre-Dame reparaît et tous les paroissiens convergent vers ce lieu de culte.

La chapelle fut érigée en calvaire en 1935 par Jules et Emile Jacques, entrepreneurs à Muno. Elle fut restaurée sous l'abbé Bouillon (1962-1978). Les ouvriers communaux sont chargés de l'entretien du site.

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NOTRE-DAME MIRACULEUSE
 

Monsieur Raymond Buche (1934) avait, au cours d'un très grave accident en France, le 8 aoüt 1987 à MONTARNAUX, invoqué la madone et promis la construction d'un ex-voto s'il en réchappait sain et sauf.
 
Ancien maçon, il réalisa son voeux. Il obtint une statue de Notre Dame miraculeuse en plâtre (à savoir qu'elle n'avait plus de mains), autrefois érigée dans l'ancien pensionnat des soeurs de St Vincent à Muno.
Depuis mars 1991, cette madone se dresse route du cimetière en bordure de lapropriété Buche-Moreau, "Ad perpetuam rei memoriam" pour perpétuer le souvenir de la chose.
 
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Le cimetière

Proche autrefois du bistro "L'Egalité" le nouveau cimetière, hors du village, est dominé par une grande croix en fer forgé. Erigé en 1888, le socle de pierre de taille porte une plaque rappelant les Anciens Combattants des 2 guerres et cette inscription :
"Seul le parfum d'une pierre
dure éternellement au ciel"
Au 11 novembre , après l'office, elle est le lieu de rassemblement des anciens lors de l'appel aux morts.
 
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La croix Boudet


 

Une croix de chêne avec un Christ en fonte bien abîmé et remastiqué, est entourée d'une haie de cyprès plantée par l'administration communale de Muno en 1968. Sa base de pierre jaune du pays, hélas gélive et éclatée en morceaux, fut restaurée par le S.I. en juillet 1992 aidé les ouvriers maçons de la grande commune de Florenville.
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Notre-dame de la Fontaine à Watrinsart

En 1978, le conseil communal de Lorenville (fusion en 1976), vu l'éboulement du mur arrière, décida de raser la fontaine de Watrinsart. En 24 heures, ce fut fait!

Les notables de l'endroit étaient peu satisfaits. Lors de la restauration, un voisin, M. Harman Galloy (1912-1987) dont le jeune fils Jules (1946-1961) avait été tué sur la route au carrefour Lambermont-Fontenoille par le bus scolaire, un jour de verglas, voulut concrétiser son voeu "Elever une potale en souvenir".
 

Il apporta donc aux ouvriers communaux une Vierge et demanda de la nicher dans le muret à restaurer. Hélas! les intempéries ont actuellement raison du plâtre et la statuette n'attire plus que rarement.

Madame Luc Galloy, belle-soeur du défunt et Madame Guy Labille assurent la propreté du lieu. La récitation publique du chapelet s'y fait traditionnellement un dimanche de mai et d'octobre.

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Le Christ de Watrinsart

 
 

Certaines cartes géographiques anciennes marquent une église ou chapelle en ce lieu...

La croix est située sur l'ancien chemin des Romains qui, avant la route empierrée, gagnait les hauteurs de Fontenoille et de Lambermont.
Le Christ lui-même est en bois et vient de Tellin. Un certain Hayon l'a ramené sur son dos dans sa hotte. Sous la croix se trouve une plaque.
 

Vittal Hayon, né à Fontenoille en 1910, soldat au 2è Régiment des Chasseurs Ardennais, fut fait prisonnier en mai 1940 et est mort au camp d'extermination de Mauthausen le 22 février 1945.

La tradition rapporte que le bois de cette croix fut porté de l'église de Muno à Watrinsart sur les épaules des jeunes gens de Watrinsart et de Muno.

Actuellement, ce calvaire est fleuri et entretenu par Madame Céline Boqué, épouse Robert Labranche (1924-1992). Voisin de la maison des époux Herman Galloy (1912-1987) et de Joséphine Ledant (1922-1979), il fut surveillé et garni par toute la famille de ce fermier dont le fils Luc Galloy a repris la maison paternelle et continue la tradition.
 

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La vierge de Beauraing (près du Prieuré)

Elle fut établie vers 1957 par Lucien Antoine (1885-1955) peu après la mort de son épouse Philomène Braconnier (1885-1957). Ce couple avait perdu leur fille unique Alida (1921-1937) âgée de 16 ans. Cette statue fut bénite le 18 octobre 1953 par l'abbé Georges Thomas (1946-1962) alors curé de Muno.
 
D'abord entourée d'une barrière en bois, elle fut l'objet d'une restauration sous l'abbé Albert Bouillon (1962-1977) qui y planta 2 tilleuls et des arbustes, car elle semblait oubliée de l'héritier Robert Braconnier.

Depuis 1990, un seul tilleul subsiste et la statue, en pierre reconstituée, fut  mutilée. Elle subit l'outrage du temps et le passage des troupeaux de vaches.
En 1992, A. Quanjer, propriétaire du prieuré, répara et repeignit la statue.

En 1993, le S.I. a placé un banc, redressé la clôture et dégagé le "chemin de Carignan" qui conduit au moulin. Un ex-voto est resté au pied de N-D.; Remerciements offerts par Labille-Klaine à la naissance de leur fils unique Michel Labille.

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Saint Barthélemy : Cour du Prieuré

 

Ce prieuré des Bénédictins (ordre de St Benoit) passa aux Jésuites (1602-1773). Il fut aussi brasserie (1895-1925) sous la famille Buche -Kinif et ferme sous la famille Clause Lamotte.

Actuellement le fermier locataire, Raymond Havenne, en est à son 3è propriétaire. Le dernier, A. Quanjer (1980) voulut rappeler que cette demeure était jadis dédiée à St Barthélemy. Il fit donc placer sur la fontaine centrale de la cour, une statue en pierre reconstituée de ce saint patron, en 1986.

Lors du 800è anniversaire (1188-1988), la messe concélébrée dans la cour de la ferme par Monseigneur Mathen, évêque de Namur et Monseigneur Herriot, évêque de Verdun aidés du père provincial Jean Charler et l'abbé Jean Gravis, curé de Muno, rendit un hommage tout particulier à ce Saint protecteur, le dimanche 28 août 1988, jour de commémoration.
 

J. Braconnier, alors président du S.I. et toute son équipe, avait bien fait les choses; une plaque fut apposée au mur de l'église du village, en souvenir de cette grande festivité.
Victor Duval (1897-1992), alors doyen du village, eut l'honneur de dévoiler l'inscription en présence de la foule, aux sons des hymnes joués par l'harmonie locale.
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La croix Braconnier


 

Votre curiosité peut être éveillée en montant de Muno vers les Blancs-Sarts, sur la droite, dans la pente du talus, face à une route des bois, en découvrant une pierre tombale en schiste bleu, solitaire mais résistante, qui porte cette inscription :
"Ici tout près, est décédé en 1850 Roch Braconnier (1836-1850), fils de Didier Braconnier (1813-1890) de Muno âgé de 14 ans. "Priez Dieu pour le repos de son âme. RIP"
La tradition rapporte que Roch s'est perdu en allant porter à manger à son père qui travaillait dans la forêt.
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Le calvaire des Blancs-Sarts

Au carrefour de la descente vers Muno et de la grand-route (N83) Bouillon-Florenville, se dresse entre des tilleuls, un calvaire acheté en Autriche par la Comtesse de Flandre (Amerois) Marie Hohenzollern - Sigmaringen (1845-1912).

C'est un Christ tyrolien.

Le 21 juillet 1907, la Comtesse érigea ce monument en mémoire de son mari Philippe, Comte de Flandre (fils de Léopold Ier et de Louise-Marie) qui mourut le 17 novembre 1905.
 

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Notre-Dame au coeur d'or

N-D. de Beauraing, au carrefour de la route de Watrinsart et de la route de Muno (Prieuré) à Lambermont, près des anciennes écoles.
Des scouts avaient placé à cet endroit lors d'un camp à Lambermont, une petite statuette sur un bloc de bois. La voisine du lieu, Madame Hermence Charles (1886-1974), s'apitoya sur la figurine que le temps dégradait. Pour remplace celle-ci, un architecte paysagiste, Mr Peters d'Arlon, réalisa gratuitement un plan et Messieurs Prudent et Paul Perard de Muno construisirent le pilier actuel en 1969, la commune de Muno cédant le terrain.

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Le cimetière de Lambermont

Avant 1889, les défunts du village étaient enterrés au cimetière de Muno autour de l'église. C'est en 1889, le 15 décembre que le cimetière de Lambermont a accueilli le premier mort : Nicolas Bertrand.

Le bourgmestre était alors J. François Gratia et le curé du lieu Henri Boccart.

Le 26 septembre 1979, les ouvriers communaux établirent les allées en béton et installèrent l'arrivée d'eau à l'intérieur du cimetière.
 

Dans la parcelle à gauche de l'entrée, fut planté en 1930 l'arbre du centenaire. C'était un marronnier. Hélas, les feuilles et les marrons gênaient la propriétaire d'une tombe voisine et il fut abattu sans remords.

La croix centrale est aussi le lieu de rassemblement des anciens combattants de 14-18 et 40-45 à chaque 11 novembre.

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Notre-Dame du foyer
Elle domine le fer à cheval que figure le village de Lambermont vu de cette chaude côte.

Voici ce qu'en dit le doyen de Sibret, l'abbé Joseph Coulon alors curé du village de 1954 à 1964 : "Je voyais déjà en ce temps- là, ce village vivre en si piteux état. C'est ainsi que j'ai sollicité l'entreprise Homel Frères de Romponcelle pour réaliser mon rêve : mettre ma paroisse sous la protection de la Ste Vierge.
 

L'entreprise dépêcha ses ouvriers de Lambermont Hector Dazy, José et Freddy Lambert pour faire ce travail. Ils en furent les artisans constructeurs et en plus bénévolement.
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La statuette de St Jean Baptiste

Sous l'abbé Julien Hallet (1915-1970) outre la liste des anciens combattants du village, on plaça au pignon de l'église, la statue du patron de la paroisse, monument tout simple dû à l'architecte François Mees de Florenville et réalisé par Albert Lavigne, tailleur de pierre à Fontenoille.
C'est le 29 novembre 1952, en présence du major Warlet, représentant le commandant militaire de la province, que tour à tour le bourgmestre de Muno, Joseph Godfrin, et René Lambert (1891-1971), président du comité patriotique, rappelèrent son symbolisme et que le jeune Paulin Tassou dévoila la plaque commémorative sous une pluie battante.
 
 

Les habitants de la localité avaient-ils gagné la petite guerre? Ils n'avaient plus à se déplacer à Muno près de la gendarmerie, route de la gare où en 1920, la commune avait érigé un seul monument aux morts entre les 2 villages... pour que chacun y trouve un effort à faire ... avait pourtant dit l'abbé Eugène Claude.

A présent, le flambeau sacré du 11 novembre marque l'arrêt dans le village et chaque année l'harmonie locale "Les Amis réunis" y joue Brabançonne et Marseillaise, avant de gagner Muno, rue de Bavière où le monument aux morts fut déplacé sous le Bourgmestre J. Braconnier en 1975 et remis par Jean Rozet (1915-1994) entrepreneur, dans la pelouse devant les écoles communales.

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Le Christ du Paquis

Sur la route de Muno à la sortie de Lambermont, se dresse sur la droite, une statue érigée par un émigrant des U.S.A à son retour au village natal.

Le grand-père d'Antoine Emond (1922-1985) réalisa son voeu en rentrant au pays. Les ouvriers communaux entretiennent régulièrement ce monument.
 
 
 

Avant la guerre de 40-45 une petite statuette de Sainte APPOLINE voisinait le Christ. Invoquée contre le mal de dents, il n'était pas rare de voir à ses pieds un groupe décolières en promenade avec les soeurs du pensionnat de Muno. Aucune trace ... sauf la tradition.
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La croix du bras de la "Chérire"
Elle fut sans doute une croix de mission: érigée vers 1933 par Auguste Lemasson (1878-1952) menuisier. François Mathias (1884-1964) maréchal ferrant et Octave Mélard (1869-1937) cultivateur, avec Marie et St Jean, elle rappelle le calvaire de Muno.
Sous le mayorat de Arthur Dacremont (1903-1978) elle fut rénovée par le menuisier Gilbert Sindic (1912-1993) et par Ernest Cobraiville (1902-1986) ardoisier, tous deux de Lambermont.
 
Le bois en un tronc de chêne dont tout l'aubier a été enlevé. Ici aussi, les ouvriers communaux veillent à son entretien.
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Le Christ de Hauts de Lambermont
La tradition nous dit que Jacques Guiot (1865-1950), le père d'Alexis Guiot (1905) promit délever une statue si son fils se mariait.

... Le voeu fut exaucé. Mr Guiot tint parole et le petit coin de terre fut cédé par la commune de Muno.

Située au carrefour de la route de Messampré et de la route de Muno, voisine de la station d'essence et des maisons Gontier, la statue fut complètement restaurée par les ouvriers communaux de Florenville en 1993.
 
 
 
 

Puissent ces quelques notes être une mémoire pour tous.
      René Incourt